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Un projet d'écotourisme d'envergure nationale
Les 40 bénévoles de la Fondation du Musée de la Tourbière développent le projet de la Maison de la Tourbière dans le village des Ponts-de-Martel (NE). Il propose au grand public une destination d’écotourisme offrant une immersion complète dans la plus grande tourbière d’un seul tenant de Suisse.
Dans l’actuel hôtel du Cerf, le projet dotera le village d’un centre d’interprétation permettant de découvrir les richesses de la tourbe et mesurer les enjeux de la protection des tourbières, d’un centre de compétences réunissant des spécialistes d’envergure nationale ainsi que d’un restaurant et d’hébergements pour ravir les papilles des visiteurs et les accueillir confortablement.
La tourbière des Ponts-de-Martel sera revitalisé et le parcours du sentier adapté aux personnes à mobilité réduite, afin d'offrir à chacun une expérience unique de la faune et la flore si particulière de ce milieu.





L'exploitation se pratique verticalement, le long d'un mur de tourbage encore bien visible devant vous. Au pied du mur s'étend la "creuse", dans laquelle toute la tourbe disponible a été extraite.
A l'aide d'une bêche plate particulière, le "gazon", le tourbier découpe des briquettes de tourbe, mesurant environ 30 cm sur 10 cm. La tourbe de profondeur, très sombre, fournit le meilleur combustible.


Gorgées d'eau, les briquettes sont mises à sécher à l'air. Elles sont d'abord posées à plat sur le sol, puis disposées en petits "châtelets" de 3 ou 4 éléments.
Dans le courant de l'été, le tourbier érige les "mailles", pyramides de briquettes terminant de sécher à l'abri du sol humide. Quelques semaines plus tard, la tourbe pourra être brûlée, à la manière du charbon.


Une fois la tourbe exploitée jusqu'à la couche de marne, le terrain est le plus souvent remis en état dans la creuse pour être cultivé. Des pâturages et des prairies remplacent progressivement la tourbière.